mercredi 5 janvier 2011

J'ai osé.



Il y a quinze jours, je n'avais guère été satisfait de ma prestation devant l'UTL de Cambrai, sur la théologie orthodoxe. Cet après-midi, si ! Pourtant, c'était la première fois que je traitais en conférence le sujet (Faut-il oser ? vignette 1). Mais deux cafés philo m'y avaient un peu préparé, celui de Saint-Quentin et celui de Gauchy, à la Maison du Sophora.

A l'origine, la question n'est pas de moi mais du café associatif soissonnais Au Bon Coin, où je dois l'exposer au printemps. Alors je me suis dit que l'UTL pouvait aussi être intéressée. Je crois ne pas m'être trompé. C'est un sujet qui passe bien. J'ai relativement maîtrisé le temps, même si l'assistance a eu droit à un rabiot de quinze minutes, qui est désormais traditionnel.

Nous nous sommes quittés sur une chanson de circonstance, le premier pas de Claude-Michel Schönberg (vignette 2). Mais je n'ai trouvé personne pour l'interpréter (et surtout pas moi !). Comme je n'ai pas revu la jeune femme qui m'avait la dernière fois offert un pot de confiture aux coings. On se retrouve dans quinze jours, pour la mémoire et le temps.

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