jeudi 23 septembre 2010

Salade, chou et philo.





Rentrée hier soir du Café Philo de Bernot. Sauf que ma grippe n'est toujours pas partie et que j'ai exceptionnellement huit heures de cours dans les pattes (nous avons rattrapé par anticipation un "pont" de mai prochain). Résultat : je suis crevé. J'ai donc laissé ma place à Arthur, qui a animé avec beaucoup de brio. C'était une première pour lui, il remettra le couvert en décembre à Saint-Quentin. Hier, le sujet était celui des Littéraires au bac de cette année (vignette 1).

A mon arrivée, des affichettes Café Philo sur le sol formaient des pas jusqu'à la question du jour, elle aussi figurant en grand sur le sol, au milieu de la salle. Marrant. Et puis j'ai eu droit à un cadeau de rentrée : une corbeille de légumes offerte par Agnès et Michèle ! (vignette 2) C'est un private joke : lors d'un débat sur l'envie, j'avais soutenu qu'on pouvait envier la maison, la voiture, la femme du voisin mais pas ses salades. Réponse du berger à la bergère !

La remise des diplômes lors du Café Philo de juin avait été incomplète : la presse n'avait pas eu le sien. C'est fait, Michel, fidèle participant, a été récompensé (vignette 3). Cette nouveau saison du Café Philo de Bernot ne sera pas toujours assuré par Raphaël qui, devenu bachelier, va rejoindre d'autres cieux, mais Arthur suppléera. 2 010-2 011, c'est parti ! (vignette 4, la traditionnelle photo de groupe)

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour,

J'ai une question pour la dissertation qu'on doit vous rendre demain. Entre l'intro et la première partie, et entre la dernière partie et la conclusion, faut-il passer deux ou trois lignes pour bien distinguer ? Ou bien faut-il une ligne comme entre les différentes parties?

Merci

Emmanuel Mousset a dit…

La réponse est dans la question : si c'est une ligne de séparation, on ne les distingue plus ; si c'est trois lignes, on les distingue.